Quantcast
Channel: Le Huffington Post
Viewing all 7637 articles
Browse latest View live

Voici les entreprises en lice pour l'aménagement du site où se tiendra la COP22

$
0
0
ÉVÉNEMENT - La première séance d'ouverture des plis des soumissions pour l'aménagement et l'équipement du site de Bab Ighli à Marrakech, dans le cadre de l'organisation de la 22e session de la Conférence cadre des Nations unies sur les changements climatiques (COP22), a eu lieu ce jeudi, indique un communiqué du Comité de pilotage de l'événement.

Le site abritera le centre des conférences où se tiendront les travaux de la conférence des parties, les activités de la société civile, ainsi que celles des opérateurs privés et des institutions publiques.

Sans surprise, les entreprises ayant soumissionné à l'appel d'offres ont formé trois groupements afin de se soumettre aux critères d'éligibilité arrêtés par l'appel d'offres.

Le premier est un groupement de huit entreprises, qui sont GL Events Services, GL Events Audiovisual, GL Mobilier, HALL Expo, Agence PUBLICS, CAPITAL Events, Léni et Manzeh Diafa.

Le second est le groupement MaroCop, composé de quatorze entreprises qui sont Richard Attias & Associates Group, Alomra group international, My Abdelouahed Boudda Architecte, Construction Management Services, Derichebourg Maroc, Emeraude Services, Ittisalat Al Maghrib, MED production, REZO Events, VALYANS Consulting, WPP JUBILEE LTD, Richard Attias & Associates Africa, Special Batiment & Travaux Hajji, Protection Electrique et Electronique.

Enfin, le troisième groupement réunit sept entreprises, en l'occurrence la Nouvelle Avant Scène SA, Chapitaux Plus, MAVER, DORIER, FINATECH Group, URBAGEC et KS Events.

"L'annonce de l'attributaire de ce marché se fera après examen des dossiers administratifs, techniques et additifs, puis des offres techniques et des offres financières par la commission de l'appel d'offres nommée à cet effet", indique le comité de pilotage de la COP22 dans le communiqué.

Pour rappel, le comité de pilotage de la COP22 a fixé des conditions très strictes aux entreprises désireuses de soumissionner à l'appel d'offres, ce qui a suscité des réactions mitigées parmi les chefs de sociétés d'événementiel, certains demandant une révision de l'appel d'offres.

LIRE AUSSI:






Chihuahua ou muffin? (PHOTOS)

$
0
0
INSOLITE - Après le panda perdu entre mille bonhommes de neige, aujourd'hui c'est aux chiens d'être confondus, mais avec de la nourriture cette fois-ci.

Cette série de montage a été créée par Karen Zack, une américaine qui se fait appeler TeenyBiscuit sur Twitter.

La jeune femme a exprimé vendredi sa joie du succès de son idée. "Boostée de voir des personnes imaginer de nouvelles créations. Nous vivons vraiment dans un monde délicieux", peut-on lire dans un de ses tweets.

Chihuahua ou muffin ?







chiot ou bagel ?







Dalmatien ou crème glacée ?








Chien ou serpillière ?








Labradoodle (race de labrador australien) ou poulet frit ?





LIRE AUSSI: #‎JesuisBoby, un hashtag pour les chiens errants au Maroc






Les syndicats marocains préparent une grève générale et une marche Casablanca-Rabat

$
0
0
SYNDICATS - Ce vendredi 11 mars, les représentants des quatre principales centrales syndicales du pays ont décidé d'organiser une nouvelle grève générale, ainsi qu'une marche.

Un peu plus de deux semaines après la tenue d'une grève générale de 24 heures, l'Union marocaine du travail (UMT), la Confédération démocratique du travail (CDT), la Fédération démocratique du travail (FDT) et l'Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM) ont décidé d'organiser une nouvelle grève générale, de 48 heures cette fois.

Les syndicats prévoient aussi de mobiliser leurs troupes pour une marche pour Rabat, qui prendra Casablanca comme point de départ, soit quelques 86 kilomètres.

La grève et la marche, dont les dates seront annoncées la semaine prochaine, interviennent pour pousser le gouvernement à reprendre le dialogue social, ainsi que pour marquer le refus des syndicats de discuter de la réforme des retraites sous forme de projets de lois à la Chambre des conseillers.

Une réforme des retraites qui n'avance pas

Principal point de discorde entre le gouvernement et les syndicats, la réforme des retraites prévoit de relever l’âge minimum de départ à la retraite de 60 à 63 ans, augmenter les cotisations et baisser les pensions de retraite. Les projets de loi y afférent ont été déposés à la Chambre des conseillers il y a quelques semaines, et n'ont, jusqu'à présent, pas encore été examinés par la deuxième chambre, en raison des reports successifs des séances dédiées à l'étude des projets des lois.



LIRE AUSSI:




Le secret de Polichinelle turc en Syrie

$
0
0
INTERNATIONAL - La Syrie est, indéniablement, l'"homme malade" des temps modernes, qui n'hésite pas à contaminer ses voisins. La Turquie n'est pas une exception. Le temps de l'hégémonie régionale turque, tel qu'observé il y a tout juste cinq ans alors que les pays arabes plongeaient dans une vague d'instabilité politique, est révolu.

Il ne reste plus, aujourd'hui, de la Turquie de Recep Tayyip Erdogan, qu'un Etat hésitant et dont la politique étrangère est dictée par une peur à l'égard de l'émergence du rôle de la communauté kurde sur le front syrien contre la menace terroriste de Daech. La politique de "zéro problème avec les voisins", emblématique du parti AKP d'Ahmet Davutoglu, ministre des Affaires étrangères turc, semble passer aux oubliettes au profit d'une attitude agressive basée sur des alliances militaro-politiques de plus en plus prononcées.

La dernière en date reste celle de la création d'un Conseil de coopération stratégique avec l'Arabie saoudite, dont l'objectif est de renforcer les relations politiques et économiques entre les deux pays. La création de ce conseil reste, cependant, bien fortuite à l'heure où la Turquie et l'Arabie Saoudite ont affirmé leur ferme ambition d'envoyer des troupes terrestres en Syrie alors que les opérations étrangères se limitent aux opérations d'offensives aériennes.

Selon le média Sputnik, des avions militaires saoudiens seraient déjà arrivés à la base militaire turque d'Incirlik. Le porte-parole de Recep Tayyip Erodgan, Ibrahim Kalin a également déclaré que la Turquie aurait envoyé prés de 3.800 personnes pour lutter contre Daech. Malgré le fait que la Turquie ait affirmé qu'une offensive conjointe avec l'Arabie Saoudite en Syrie ne pourra s'effectuer qu'avec l'aide de la coalition internationale contre Daech, l'attitude générale des pays sur le front syrien laisse à penser que les tactiques militaires prennent le pas sur toute sortie de crise par voie diplomatique, comme en témoigne l'échec des derniers pourparlers de paix, à Genève.

Bachar Al-Assad tire son épingle du jeu

Dans un entretien accordé au journal espagnol El Pais, le Président Syrien, Bachar Al-Assad soutient qu'"il demeure la seule personne pouvant sauver la Syrie" avec l'aide russe et iranienne. Cette interview survient avant l'annonce d'un accord de cessez-le-feu par les Etats-Unis et la Russie dont le succès est d'ores et déjà compromis par le rejet du cessez-le-feu du Front Al-Nusra. Dans ce même entretien, le président syrien affirme que tout "groupe armé agissant contre le gouvernement syrien est considéré comme un groupe terroriste".

Paradoxalement, la situation actuelle donne de plus en plus raison à Bachar Al-Assad. La multitude et la complexité des acteurs en jeu dans le conflit syrien fait apparaître le président syrien comme une figure politique rationnelle - car entre Al-Baghdadi et Al-Assad, le choix de qui il est préférable de voir gouverner la Syrie est vite fait. Alors qu'il y a quelques temps, les exactions contre la population civile (comme les attaques à l'arme chimique) du président syrien étaient perçues comme une ligne rouge à ne pas franchir; aujourd'hui ces mêmes exactions sont perçues comme des dommages collatéraux d'une guerre qui ne semble pas finir.

Face à la prédominance du discours de lutte contre l'extrémisme violent et le terrorisme transnational, la question d'une transition démocratique syrienne devient obsolète voire une formalité. L'Europe et les Etats-Unis semblent davantage concernés par le mouvement des réfugiés et l'impact que cela pourrait provoquer sur leur économie, quitte à remettre en cause l'institution même de l'Union européenne avec des pays tels que le Royaume-Uni, décidant que le contexte actuel est trop lourd à porter et préférant une coupure vis-à-vis de l'UE à la mise en place d'une stratégie commune bien trop onéreuse et qui, en somme, ne se limiterait qu'à un déploiement d'action plus large de l'agence "Frontex" sur les frontières extérieures.

Silence, on tue...

Pour revenir au rôle de la Turquie en Syrie, il est clair que cette dernière ne cache pas son aversion pour l'émergence de la communauté kurde en Syrie. Le président turc, en conséquence, n'hésite pas à s'afficher dans des rassemblements anti-Kurdes, comme celui qui s'est déroulé à Paris, ou encore à mener des opérations jusque dans le territoire irakien, fief du parti kurde du PKK. La Turquie n'hésite pas, aussi, à jouer un jeu dangereux comme en témoigne le journal turc Cumhuriyet qui accuse le régime d'Ankara de coopérer avec Daech à la frontière avec la Syrie, et qui a valu à deux journalistes du journal d'être arrêtés puis relâchés temporairement en attendant leur procès en mars prochain.

Malgré les divers démentis de la part du président turc, Ankara avance main dans la main avec Riyad contre un front russo-iranien soutenant Bachar Al-Assad. Alors que les deux pays n'avaient pas, jusque-là, de grands points en commun, l'adage "l'ami de ton ennemi est mon ennemi" semble prendre tout son sens. Là où la Turquie voit les Kurdes comme ennemi principal, l'Arabie Saoudite voit l'émergence iranienne dans la région comme ennemi numéro 1 - quitte à adopter une attitude spontanée et d'agression réciproque contre Téhéran, comme le prouve la rupture des relations diplomatiques avec la République islamique à la suite de l'attaque de l'ambassade d'Arabie saoudite en Iran en réaction à l'exécution du leader chiite El-Nimr par Riyad.

Ainsi, les intérêts d'hégémonie ne manque pas sur le champ de bataille syrien et les victimes premières, étant la population civile, sont de plus en plus oubliées au profit d'un jeu d'influence à large échelle. La crise humanitaire ne fait plus parler d'elle, car on préfère voir s'affronter des pays comme l'Arabie saoudite et l'Iran en tentant de deviner les pronostics macabres d'un jeu géopolitique malsain. On se tait sur les victimes quotidiennes, à la même image, au Yémen, car après tout, le Moyen-Orient est une région où la normale devient la mort et l'affrontement violent; et on n'ose même plus espérer que la diplomatie joue son rôle car sous les bruits des armes, il reste difficile de s'entendre.

LIRE AUSSI DANS LES BLOGS:





La créatrice d'origine marocaine Bouchra Jarrar prend les rênes de la maison Lanvin

$
0
0
HAUTE COUTURE - Les rumeurs faisant état de la nomination de la couturière française d'origine marocaine Bouchra Jarrar au poste de directrice artistique de la marque Lanvin circulaient depuis plusieurs jours. C'est désormais officiel. La maison de haute couture a annoncé la nouvelle ce vendredi dans un communiqué cité par l'agence de presse Reuters.

Bouchra Jarrar succède donc au natif de Casablanca Alber Elbaz, qui s'est retiré il y a cinq mois, après une carrière de quatorze ans au sein de l'institution de la mode. Bouchra Jarrar aura pour première mission de faire revenir "l'apaisement entre le personnel et la direction", souligne la même source, le départ de son prédécesseur ayant laissé des "séquelles" au sein de la maison.

Bouchra Jarrar, qui a ouvert sa propre maison de couture à Paris en 2010, et a reçu en 2013 l'appellation "haute couture", a suivi un parcours sans faute depuis son enfance à Cannes, où ses parents originaires de Fès se sont installés dans les années 50.

Petite, elle coud des vêtements pour ses poupées et des jupes pour sa mère. Après des études d'art à Nice puis à Paris à l’Ecole supérieure des arts appliqués Duperré, elle passe dix ans chez Balenciaga et un an et demi chez Christian Lacroix en tant que directrice du studio couture avant d'ouvrir une maison à son nom.

Le style de ses collections, qualifié de "masculin-féminin, néo-classique et intemporel", est remarqué par la presse et les acheteurs, et lui vaut une médaille de Chevalier dans l'Ordre des Arts et des Lettres en 2012.



LIRE AUSSI:



La beauté du Maroc résumée en 3 minutes (VIDÉO)

$
0
0
BUZZ - Les organismes en charge de promouvoir la destination Maroc devraient peut-être le remercier. Valentin Neukelmance, un Belge passionné de voyage qui a passé 10 jours au Maroc en février dernier, a résumé son séjour dans une magnifique vidéo de 3 minutes.

Armé d'une caméra Canon 6D, il a filmé les ruelles bleues de Chefchaouen, la place Jemaa el-Fna, les tanneurs de Fès, ou encore les petites échoppes qui caractérisent les médinas marocaines et les sourires des personnes rencontrées. Les images, tout comme la musique qui accompagne la vidéo ("La lune rousse" de Fakear), sont à couper le souffle.

"Des dunes du Sahara aux sommets du Haut Atlas, le pays offre des paysages époustouflants et variés", écrit Valentin Neukelmance dans la présentation de sa vidéo, qui vient de faire l'objet d'un article sur le site du Routard.

LIRE AUSSI: Voyages : 12 mois, 12 destinations de voyage au Maroc (PHOTOS)





La Marocaine Nora Fatehi jouera dans le thriller bollywoodien "Rocky Handsome"

$
0
0
CINEMA - L'actrice maroco-canadienne Nora Fatehi a décidément plus d'une corde à son arc. Chanteuse, danseuse et actrice, elle avait fait les beaux jours du film "Roar" du célèbre Kamal Sadanah en 2013. C'est en 2015 qu'elle gagne en notoriété, lors de sa participation à la télé-réalité "Bigg Boss" qui lui avait permis de décrocher un rôle dans le blockbuster "Baahubali" la même année.

La belle marocaine de 27 ans continue son ascension dans le monde du cinéma. Désormais de plus en plus sollicitée à Bollywood, elle jouera dans le thriller "Rocky Handsome" qui sortira le 24 mars prochain, aux côtés des pointures John Abraham et Shruti Haasan. Elle figurera également sur le clip musical de la bande originale.

"Je viens d'une famille marocaine, je suis née au Canada mais je me sens indienne dans mon coeur (...) Je suis danseuse, chanteuse et comédienne. Je fais beaucoup de choses en rapport avec l'art. C'est mon domaine et ce qui me rend la plus heureuse," avait-elle déclaré au "Times of india" en février.

L'actrice aux multiples talents avait publié sur Instagram un cliché de l'avant première du thriller où elle s'affiche rayonnante au côté de l'acteur John Abraham.




La bande annonce du film, dévoilée il y'a une semaine, a d'ores et déjà récolté plus de trois millions de vues sur Youtube. Le film réalisé par Nishikant Kamat raconte l'histoire d'un homme qui prendra sa revanche sur une mafia de la drogue, suite à l'enlèvement de sa petite fille par ces derniers.



LIRE AUSSI :




Le Maroc en "situation très critique" face au dopage selon l'Association internationale des fédérations d'athlétisme

$
0
0
DOPAGE - Le Maroc est sur le radar de l'Association Internationale des Fédérations d'Athlétisme (IAAF) en ce qui concerne le dopage. Lors d'une réunion de l'organisation sportive qui se tient actuellement à Monaco, le royaume ainsi que l'Ethiopie, le Kenya, l'Ukraine et le Bélarus ont été épinglés au sujet de leur programme anti-dopage.

"L'IAAF estime la situation de ces pays très critique à différents degrés", a déclaré Sebastian Coe, le président de l'IAAF. "Il n'y a pas de sanctions immédiates, il s'agit juste d'un sérieux rappel à l'ordre".

Si le Maroc ne fait pas encore l'objet de surveillance dans ce domaine, les programmes anti-dopage du Kenya, de l'Ukraine et du Belarus ont été placés sous la garde de l'IAAF.

Plusieurs cas de dopage ont déjà entaché le sport marocain. En 2004 l'haltérophile Wafa Ammouri avait été contrôlé positif aux stéroïdes anabolisants lors des jeux olympiques d'Athènes tandis qu'en 2012 le coureur de fond Amine Laâlou avait été exclu des JO de Londres pour dopage.

LIRE AUSSI: Athlétisme: Rabat, première ville africaine à accueillir la Diamond League






Le RNI boycottera les rencontres de l'Intérieur et de la Justice avec les partis marocains

$
0
0
ÉLECTIONS - Après avoir boycotté la première réunion de dialogue pré-électoral organisée par les ministères de l'Intérieur et de la Justice, le Rassemblement national des indépendants (RNI) annonce qu'il boycottera les prochaines rencontres.

Dans un communiqué émis jeudi 10 mars par les groupes parlementaires du parti aux deux chambres du parlement, le RNI explique qu'il entend protester contre l'arrestation et le jugement de 26 de ses membres pour des faits de fraude électorale enregistrés durant les élections communales et régionales du 4 septembre 2015.

Ainsi, le parti avance dans le communiqué précédemment cité que cette affaire "est marquée par des dysfonctionnements, et recèle plusieurs zones d'ombre". Le parti dénonce, par ailleurs, "l'utilisation de la justice à des fins politiciennes", ainsi que "l'annonce des noms des accusés", ce qui constitue, pour le parti, une forme de "diffamation", ainsi qu'une "violation du secret de l'enquête et de l'instruction."

LIRE AUSSI :




Mourad Lahlou, cuisinier marocain à la conquête du Far West (PORTRAIT)

$
0
0
RESTAURATION - Le rêve américain de Mourad Lahlou ne devait pas finir derrière les fourneaux. Et pourtant. Arrivé aux Etats-Unis à l'âge de 20 ans pour poursuivre des études d'économie à l'université de San Francisco, ce natif de Marrakech a fini par ouvrir son propre restaurant et faire vivre la cuisine marocaine de l'autre côté de l'Atlantique.

Visiblement attaché à ses racines, le jeune Mourad a en effet vite eu "le mal du pays". Ce coup de blues est un déclic pour le futur chef cuisinier, qui se met à concocter des plats marocains et troque les chiffres contre son tablier.

Nostalgie culinaire

"Quand j'étais petit, j'accompagnais ma mère à la cuisine, non pas pour apprendre à cuisiner, mais pour qu'elle me raconte des histoires sur ma famille. C'est vrai que je regardais ce qu'elle mettait comme ingrédients dans ses plats. Une fois arrivé aux Etats-Unis, j'ai eu une grande nostalgie pour la cuisine marocaine, et de là j'ai commencé à m'intéresser à cette gastronomie", confiait-il en 2010 face à la caméra de Al Aoula.

L'art culinaire devient rapidement sa passion. Il ouvre son tout premier restaurant, "Kasabah", en 1996 à San Rafael en Californie, et est nommé "Etoile montante de la cuisine" par le magazine San Francisco Chronicle deux ans plus tard.

Contraint de fermer son restaurant quelques années plus tard, le cordon bleu ne baisse pas les bras. Plus déterminé que jamais, il revoit sa cuisine et ajoute une touche plus moderne et sophistiquée à ses plats. Il ouvre alors un nouveau restaurant à San Francisco qu'il baptise "Aziza", un clin d'oeil à sa mère qui porte le même prénom.

aziza


"J'essaie toujours d'innover"

Poussé par le désir de bousculer les clichés sur la nourriture marocaine, son approche tend à revisiter les saveurs traditionnelles en les mettant au goût du jour. Le restaurant ne désemplit pas et devient rapidement une référence culinaire pour les amoureux de la gastronomie du royaume.

"Ce qui me distingue des autres chefs cuisiniers qui font de la cuisine marocaine, c'est que je ne reste pas cloîtré dans la tradition, j'essaie toujours d'innover, d'introduire de la nouveauté dans mes plats, je me base notamment sur des recettes que je trouve sur Internet", expliquait-il encore à Al Aoula.

mourad


Mourad Lahlou fait sensation auprès des Américains, et sa créativité est récompensée à maintes reprises. Il est le premier chef marocain à décrocher l'étoile Michelin, l'une des plus hautes distinctions de la gastronomie, et se voit décerner trois étoiles par le magazine San Fransisco Chronicle "pour l'excellence de ses plats". Et ce n'est pas tout. Zagat, l'un des meilleurs guides gastronomiques américains, nomme "Aziza" dans la catégorie des dix meilleurs restaurants de la région.

Mordu de travail, Mourad ne s'arrête pas là. C'est pour partager sa passion au monde entier qu'il sort son livre New Moroccan en 2011, qui retrace son parcours et évoque principalement la cuisine de sa famille à Marrakech et la sienne à San Francisco. Il y livre tous les secrets de ses recettes en alliant la tradition de son pays d'origine avec la modernité de son pays d'accueil.

mourad


"Mourad", sa deuxième réussite

Le cuisinier aujourd'hui âgé de 46 ans n'est pas du genre à se reposer sur ses lauriers. Suite au succès de son premier restaurant, il décide d'en ouvrir un deuxième. Après deux ans de préparation, c'est en 2015 qu'il ouvre les portes de "Mourad", baptisé à son nom.

"Mon restaurant est un parfait mariage entre le Maroc et l'Occident (...) Ce sera quelque chose de grand, qui fera sensation. Nous sommes allés à Marrakech pour puiser l'inspiration. Nous utiliserons les motifs, les couleurs et les matériaux que nous avons trouvés dans mon pays, mais nous ajouterons tout de même une touche contemporaine", avait-il déclaré au site Sfgate.com juste avant l'ouverture du restaurant.

mourad


Mourad Lahlou figure actuellement dans la liste des chefs sélectionnés par la James Beard Foundation, association qui délivre chaque année des prix aux meilleurs cuisiniers américains, et annoncera le 15 mars prochain les nominés dans chacune des catégories. Il est en lice pour la région ouest des Etats-Unis avec dix-neuf autres grands chefs cuisiniers.

LIRE AUSSI :






L'ambassade de France au Maroc va bientôt avoir son compte twitter officiel

$
0
0
RÉSEAUX - Pas trop tôt diront certains. L'ambassade de France va lancer son compte twitter la semaine prochaine sous le nom @AmbaFranceMaroc. La communication s'y fera en français et en arabe, et servira à promouvoir quotidiennement les positions de la France, ainsi que les activités mises en place par l'ambassade et le réseau diplomatique français présent au royaume.

"En s’adressant à un public jeune et dynamique, l’Ambassade entend proposer une source d’informations officielles rapidement accessible, notamment en cas de crise, mais aussi moins institutionnelle et plus interactive" a expliqué une source de l'ambassade au HuffPost Maroc. Le premier tweet sera écrit par l'ambassadeur de France au Maroc, Jean-François Girault.

Ce compte twitter vient s'ajouter à un réseau de communication déjà bien en place. L'ambassade possède déjà un site internet ainsi qu'une page Facebook tandis que les consulats et l'Institut français sont également présents sur le réseau social.

LIRE AUSSI: "Goût de France": La gastronomie française en vedette au Maroc





L'attaquant Oussama Tannane opte pour l'équipe nationale du Maroc, son "rêve d'enfant"

$
0
0
FOOTBALL - L'attaquant maroco-néerlandais Oussama Tannane a fait le choix du cœur et opté pour la sélection marocaine. "Je me sens à la fois néerlandais et marocain. J'ai joué avec les Oranje juniors mais mon cœur a choisi le Maroc et je veux poursuivre avec les Lions de l'Atlas'', a déclaré le jeune attaquant du club français AS Saint-Etienne (ASSE).

Le joueur de bientôt 22 ans a été convoqué par le nouveau sélectionneur de l'équipe nationale Hervé Renard parmi les 34 joueurs appelés.

"C'est un rêve d'enfance d'évoluer au sein de l'équipe nationale du Maroc'', a souligné Tannane dans un communiqué publié par la fédération néerlandaise de football (KNVB).

Le sélectionneur de l'équipe des Pays-Bas Espoirs, Fred Grim, qui tenait à Tannane, a dit respecter le choix du joueur marocain. "C'est une décision que nous devons respecter'', a-t-il indiqué.

"Bien sûr, nous aurions préféré qu'il opte pour les Pays-Bas et je lui ai expliqué que nous croyons en son talent, mais Oussama se sent plus fier de jouer pour le Maroc'', a expliqué le sélectionneur néerlandais.

Né le 23 mars 1994 à Tétouan, Tannane a joué deux fois pour l'équipe néerlandaise des Juniors. Le milieu offensif marocain a signé en janvier dernier pour l'AS Saint-Etienne, pour quatre ans. Le transfert a été estimé à 1,5 million d'euros.

Formé par l'Ajax Amsterdam, Tannane a évolué à Utrecht, au PSV Eindhoven, à Heerenveen et à Heracles.

LIRE AUSSI:





Le Zapping du Net #28 - Les propos de Samira Sitail sur le Maroc suscitent la polémique

$
0
0
INTERNET - Les propos de Samira Sitail sur le Maroc, le retour posthume d'Ahmed Bouanani et la montée en flèche du prix des oignons qui amuse les internautes. Chaque semaine, on refait l'actualité avec une sélection d'articles, de tweets et de vidéos qui font le tour de la toile. Bienvenue dans notre 28ème Zapping du net.

La déclaration de la semaine - Le Maroc n'est pas un pays arabe




Invitée de la matinale de la radio Aswat cette semaine, la directrice adjointe de la chaine 2M Samira Sitail a tenu des propos qui ont suscité beaucoup de réactions. "Le Maroc n'est pas un pays arabe", a tenu à souligner la journaliste. Pour elle, le royaume est "un pays maghrébin". "Historiquement, nos origines sont berbères, avec toutes les influences que nous avons vécues. Il faut qu'on l'assume aujourd'hui. Il faut que ce soit une force et non l'objet d'un débat totalement inutile", a-t-elle souligné. Ces réactions ont suscité des réactions mitigées sur les réseaux sociaux, entre des détracteurs qui n'ont pas hésité à la critiquer, et une majorité d'internautes sensible à la question amazighe qui ont applaudi son "courage".

Le revenant de la semaine - Ahmed Bouanani, une reconnaissance posthume


La reconnaissance de l'artiste marocain Ahmed Bouanani sera posthume ou ne sera pas. Un article publié cette semaine sur Le Monde Afrique revient sur cet écrivain, cinéaste et réalisateur qui n'a jamais autant intéressé le scène culturelle qu'après sa disparition en 2011. Auteur du désormais connu L'hôpital, il a aussi réalisé un unique long métrage et un court métrage, "Mémoire 14", où Bouanani a juxtaposé des images extraites des archives coloniales avec des scènes incluant des Marocains, souvent absents des vidéos coloniales, afin de reconstruire "le hors-champ de la mémoire visuelle coloniale".

A lire sur Le Monde Afrique

L'expo de la semaine - Les robes sculptures de Noureddine Amir


L'exposition a ouvert aujourd'hui...Venez découvrir les Robes Sculptures de Noureddine Amir Entrée libredu mardi au dimanche de 11h à 18h

Posted by Fondation Pierre Bergé-Yves Saint Laurent on Wednesday, March 9, 2016


Reconnu à l'échelle internationale pour son apport à la haute couture marocaine, Noureddine Amir tient sa première exposition individuelle à Paris à la Fondation Pierre Bergé - Yves Saint Laurent. Dans "Les robes sculptures", le couturier expose "ses parures sculpturales", créées à partir de matières "insolites" comme le raphia, des tissus imprimés au henné ou de toile de jute. Le résultat, tout en volume, est présenté au public dans une scénographie sublime, qui met en valeur les créations de l'artiste. L'accès à l'exposition, qui se prolonge jusqu'au 3 avril, est gratuit.

La une de la semaine - Libération devient Tahrir


A la une de Liberation, demain, numéro spécial rédigé par des journalistes, artistes et intellectuels syriens. Les...

Posted by Liberation on Thursday, March 10, 2016


Pour son édition du vendredi 11 mars, le quotidien français Libération est devenu "le quotidien des Syriens". Rebaptisé Tahrir (Libération en arabe) pour l'occasion, le journal français a publié un numéro spécial entièrement rédigé par des journalistes, intellectuels et artistes syriens "qui racontent un pays en guerre depuis cinq ans". A l'intérieur, des articles sur la scène créative syrienne s'inspirant du conflit qui ronge le pays, mais aussi des analyses sur le pouvoir affaibli de l'Etat islamique, la perception de la guerre depuis les pays voisins et le quotidien des familles syriennes plongées dans la peur. Sur le site du journal, des articles publiés dans la catégorie "Le Libé des Syriens" sont publiés. Certains sont en langue arabe.

Plus de détails sur Libération

Le prix de la semaine - Les oignons ne coûtent plus jouj frank


Cette semaine, le prix des oignons au Maroc a connu une telle augmentation qu'il a avoisiné les treize, voire quinze dirhams dans certaines villes. Une actualité qui a inspiré les internautes, friands de buzz et inspirés pour publier toutes sortes de détournements. De la bague de mariage sertie d'un oignon, à l'oignon qui s'incruste dans une corbeille de fruits en passant par un jeune homme qui offre à sa bien aimée, visiblement émue, un oignon fraîchement récolté. Florilège des meilleurs créations.

Bsla daba ghalya 3la lwrd wach bsah

Posted by Ayouz Tamazight on Monday, March 7, 2016


Galk asidi matswa bsla hhhhh

Posted by Hassan Lasmouri on Thursday, March 10, 2016


bsla daba olat fakiha

Posted by Hafid Laasri on Tuesday, March 8, 2016


Même la page AJ+, appartenant au groupe Al Jazeera, a publié une vidéo pour revenir sur ce buzz national. La page d'information explique cette hausse des prix par "l'exportation excessive de l'oignon" et par "la rareté des précipitations qui ont mené à une année agricole peu prolifique.

في المغرب البصل أصبح بطل سباق الأسعار!

Posted by ‎عربي +AJ‎ on Tuesday, March 8, 2016


Le mini reportage de la semaine - Les enfants afghans, esclaves sexuels


Some traditions should end once and for all: Afghanistan's “DANCING BOYS” are made to dress like girls and SOLD to men FOR SEX

Posted by In the NOW on Wednesday, March 9, 2016


La chaîne d'information sur Facebook In The Now a consacré, le 9 mars, un mini reportage à des jeunes garçons en Afghanistan, enlevés et entraînés pour devenir danseurs dans des soirées et esclaves sexuels accessoirement. "Un garçon doit avoir au moins 12 ans, sinon les hommes ne les aiment pas. Ils sont utilisables jusqu'à l'âge de 25 ans", témoigne un homme à visage découvert. Les prédateurs cherchent toujours les enfants les plus pauvres, qu'ils enlèvent dans les parcs de jeux ou dans la rue, souligne le reportage. "Cette nation est un pays islamique, c'est pour cela que c'est très mauvais pour les filles de sortir. Les garçons eux, vont plus facilement où ils veulent", justifie sereinement l'interlocuteur, expliquant la raison pour laquelle ce sont les jeunes garçons qui sont généralement victimes de ce trafic humain.



LIRE AUSSI:





Rabat: Mohammed VI lance les travaux de réalisation du Complexe sportif Ibn Rochd

$
0
0
ÉQUIPEMENTS - Cette semaine a été ponctuée par le lancement des travaux de construction de plusieurs équipements d'envergure à Rabat, rentrant dans le cadre du programme "Rabat ville lumière, capitale marocaine de la culture".

Après avoir donné le coup d'envoi des deux futures gares de la capitale, de la Bibliothèque des archives nationales du royaume du Maroc, de la Maison des arts et de la culture ainsi que la plus haute tour d'Afrique, Mohammed VI a lancé, ce vendredi 11 mars, les travaux de construction du Complexe sportif Ibn Rochd, réalisé dans le cadre de l'Initiative nationale pour le développement humain (INDH) pour un investissement de 39 millions de dirhams.

Ce projet, qui se situe dans l'arrondissement Yaâcoub El Mansour, ambitionne "le développement des aptitudes sportives des enfants et des jeunes, la lutte contre la délinquance juvénile et l'intégration socio-sportive des populations cibles".

Le Complexe sportif Ibn Rochd comportera une salle couverte omnisports et un gymnase abritant des salles de gymnastique, de boxe, d'arts martiaux, et de fitness et musculation.

Remise à niveau des équipements sportifs

Un programme d'aménagement de terrains de proximité (trente-sept terrains de football, vingt-trois terrains de basketball et de handball, neuf skateparks) est également mis en œuvre, nécessitant une enveloppe de 111 millions de dirhams.

Neuf terrains de football, quatre de basketball et handball et un skatepark ont déjà été réalisés dans le cadre de ce programme au niveau de la corniche de Rabat, de l'avenue Chabanat, et des quartiers El Fath, Ennahda, El Farah et El Wahda.

Vingt-huit terrains de football, dix-neuf de basketball et de handball et huit skateparks sont en cours de réalisation dans différents quartiers de la capitale et seront fin prêts dans un délai de quatre mois.

LIRE AUSSI: Découvrez les deux futures gares de Rabat en 3D (VIDÉO)





Mohammad Al-Razi, le "docteur Mamour" des temps anciens

$
0
0
HISTOIRE – Il compte parmi les pionniers de la médecine expérimentale. La médecine préventive lui doit aussi beaucoup. Car l’Iranien Mohammad Al-Razi compte plusieurs cordes à son arc. Né en 865 près de Téhéran, ce savant multidisciplinaire, à la fois médecin, alchimiste et philosophe, se tourne d’abord vers les mathématiques et l’astronomie.

Ce n’est qu’à l’âge de trente ans qu’il entame une formation de médecine à Ray, sa ville natale. Sa culture persane ne l’empêche pas de lire et écrire en arabe. Les ouvrages de son confrère Ali ibn Rabban al-Tabari, médecin et précurseur de la sociologie et de la psychologie, nourrissent notamment ses réflexions.

Un intérêt croissant pour la psychologie

Contrairement aux pratiques utilisées à l’époque qui négligent la médecine préventive, Al-Razi préfère s’appuyer sur l’analyse des symptômes et accorde une importance sans précédent à la psychologie de ses patients dans leur processus de guérison. Réputé pour sa gentillesse et son grand humanisme, ce "docteur Mamour" des temps anciens a compris bien avant d’autres qu’un moral au beau fixe est une bataille à moitié gagnée contre la maladie.

C’est donc tout naturellement qu’il consacre l’un des tout premiers traités de psychologie et de psychiatrie. L’hôpital qu’il dirige à Bagdad est par ailleurs le premier à posséder une unité spécialement destinée aux malades mentaux.

N’ayant de cesse de revendiquer les vertus de la médecine préventive, le savant se fait également l'auteur du premier traité médical à l'usage des non-médecins fondé sur sept principes, censés assurer la préservation de la santé.

L’introduction de pratiques nouvelles

Après une série de voyages effectués en Orient (Syrie, Irak, Egypte), Al-Razi se voit confier la gestion de l’hôpital de Ray. Il y introduit des pratiques radicalement nouvelles dans le soin des patients et la formation des médecins. Il décline ainsi la médecine en trois volets: la santé publique, la médecine préventive et le traitement des maladies spécifiques.

Dans le sillage de cette révolution médicale, il organise des consultations externes, promeut les soins à domicile et ouvre l’hôpital et l’accès aux soins aux démunis, et plus seulement aux couches aisées.

Si Al-Razi est un médecin reconnu, en particulier auprès des princes et des souverains, il n’en demeure pas moins un lecteur assidu et un écrivain prolifique. Il décède en 925 à Ray. L’Iran n’a pas oublié l’héritage considérable qu’a légué ce fin connaisseur de la médecine. Son nom est aujourd'hui commémoré avec l'Institut Razi, près de Téhéran. Son anniversaire, quant à lui, est célébré tous les 27 août lors de la Journée de la pharmacie.

LIRE AUSSI:







Viol, meurtre, diktat de la maigreur... Tout le mal que la pub fait aux femmes dénoncé dans une campagne choc (VIDÉO)

$
0
0
MÉDIAS - Pour Women Not Objects, la publicité est loin d'être la meilleure amie de la femme. C'est pourquoi l'association a décidé de la combattre en recensant toutes les occurrences de publicités sexistes ou qui transforment la femme en objet sur son site. A coup de campagnes choc aussi. Women Not Objects a récemment partagé une vidéo sur les dommages que la publicité et ses standards physiques très élevés ont sur les jeunes femmes et les petites filles.

Pour lutter contre les femmes pbjets dans la publicité, la vidéo de WNO s'appuie sur des phénomènes de société comme le thigh gap (l'espace entre les cuisses), le Kylie Jenner challenge ou encore la banalisation de la culture du viol mais aussi les témoignages d'anonymes qui expliquent comment les standards érigés par la publicité les touchent, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d'article.

LIRE AUSSI:






Cette photo de Leonardo DiCaprio enfant a réveillé les commentaires sexistes

$
0
0
PEOPLE - Leonardo DiCaprio a enfin reçu son prix tant attendu grâce à son rôle dans The Revenant. Sacré meilleur acteur lors de la 88e cérémonie des Oscars, la page Facebook "History In Pictures" a rendu hommage au quarantenaire en postant une photo de lui, enfant, datant de 1976.

Sur celle-ci, on peut voir la petite tête blonde se tenir aux côtés de ses parents, George DiCaprio et Irmelin Indenbirken.

Baby Leonardo DiCaprio with his mom and dad, 1976.Follow us for more awesome history >> History In Pictures

Posté par History In Pictures sur mardi 1 mars 2016




Cette photographie vintage n'est cependant pas devenue virale pour les bonnes raisons. Au lieu de se concentrer sur le bonheur et la gaieté que dégage la famille DiCaprio, ce sont les aisselles poilues d'Irmelin Indenbirken, la mère de Leonardo, qui ont déchaîné les foules.

Entre sexisme ordinaire et idéologie archaïque, les auteurs des douteux commentaires ont certainement oublié qu'une femme avait, et a toujours, le droit de choisir de se raser ou non.

Voici quelques commentaires du cliché publiés sur Facebook:

"Je pense que les femmes avec des poils sous les bras sont vraiment dégoûtantes"

"Sa mère était une vraie hippie, poils sous les bras et tout"

"Je suis désolée mais les poils sous les bras sont dégoûtants! Si vous n'êtes pas d'accord, c'est que vous ne devez probablement pas vous raser les jambes, ni vous maquiller, ni prendre soin de vos cheveux ni de vos habits, ou tout simplement ne pas vous soucier de votre apparence. Allez tout le monde, nous sommes des femmes, et qui ne souhaite pas être belle? Si vous ne vous rasez pas, vous ne vous lavez probablement pas non plus et vous sentez mauvais!"


LIRE AUSSI:





Pierre Gattaz: "Les entreprises françaises sont prêtes à travailler plus avec le Maroc, notamment en Afrique"

$
0
0
ENTREPRISES – C’est une rencontre qui devrait donner un coup d’accélérateur au partenariat franco-marocain sur le front de l’entreprenariat. Une délégation du Mouvement des entreprises de France (Medef), comportant une centaine d'entreprises dont 80% sont des petites et moyennes entreprises (PME), a entamé jeudi 10 mars une visite au Maroc.

Des sociétés qui opèrent dans les secteurs de la construction, la logistique, le transport, l'environnement, l'énergie, l'industrie et l'innovation, et des établissements d'enseignement supérieur et professionnel, ont entamé leur tournée à Tanger, où elles ont notamment visité le port de Tanger Med et l'usine Renault. La délégation s’est également rendue à Casablanca et Rabat, où elle a rencontré des membres du gouvernement marocain.

Consolider les partenariats

La visite, initiée par l'Université internationale de Rabat (UIR) et l'ambassade de France au Maroc, en partenariat avec la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), s’inscrit "dans le cadre de la consolidation de partenariats durables entre les deux pays, notamment à travers la promotion de la coopération entre PME et la formation des compétences dans les métiers d'avenir grâce à des partenariats intenses entre les entreprises et des universités", a souligné Pierre Gattaz, président du Medef.

Une présence "renforcée" des PME françaises au Maroc, en plus des entreprises du CAC 40 qui sont déjà implantées dans le pays, "permettra la création naturelle d'écosystèmes d'affaires, qui favoriseront à leur tour davantage d'investissements", a-t-il ajouté.

A la conquête de l'Afrique

"Le Medef ambitionne de travailler davantage avec le Maroc en vue d'initier des projets communs dans le royaume, mais aussi en Afrique", a déclaré, vendredi 11 mars à Rabat, le président de l’organisation patronale française à l'issue d'une réunion avec le ministre de l'Economie et des finances, Mohamed Boussaïd.

L’objectif de ces rencontres étant de "doper le flux commercial entre les deux pays et prospecter les opportunités d'investissement pour les entreprises françaises et marocaines, particulièrement sur le marché de l'Afrique subsaharienne".

Pour ce faire, Pierre Gattaz entend notamment miser sur des secteurs tels que "l’énergie, l'industrie, l'économie numérique, le recyclage des déchets, l'eau et le transport".

Pour les entreprises françaises, la stratégie sud-sud entamée par le roi semble gagnante. Pour rappel, en mai 2015, Mohammed VI avait effectué une tournée africaine au Sénégal, en Guinée Bissau, en Côte d'Ivoire et au Gabon. Il s'agissait là de la troisième tournée du genre en trois ans sur le continent africain.

Sur le plan économique, plus de la moitié des investissements directs à l'étranger (IDE) du Maroc ont concerné l'Afrique au cours des cinq dernières années, pour un montant avoisinant les 17 milliards de dirhams, selon l'Office national des changes.

En janvier 2015, de nouveaux accords de coopération avait également été scellés avec Abidjan à l'occasion d'une visite au Maroc du président ivoirien Alassane Ouattarra. En 2014, le monarque avait procédé à la signature d’une dizaine d'accords dans les domaines économiques, politiques et religieux, lors de sa tournée au Mali, en Côte d'Ivoire, en Guinée et au Gabon.


LIRE AUSSI:





Pour la bonne cause, des célébrités américaines racontent leur plus beau jour de classe (VIDÉO)

$
0
0
PEOPLE – L'objectif: récolter de l'argent pour aider les écoles en difficultés. Comment? En racontant le plus beau jour qu'ils ont passé à l'école. Plusieurs célébrités, donc Sheryl Sandberg, Samuel L. Jackson ou encore Ashton Kutcher se sont prêtés au jeu.

Ils font passer le message dans notre vidéo en tête d'article, et expliquent à quel point être dans une bonne situation pour apprendre est important et peut ouvrir des portes.

LIRE AUSSI: Badr Hari, des opérations caritatives pour soigner une image entachée?





Sahara: Une marche prévue dimanche 13 mars à Rabat pour protester contre les propos de Ban Ki-moon

$
0
0
MANIFESTATION – Les partis politiques, centrales syndicales et organisations de la société civile ont appelé à "une participation massive" à une marche populaire, prévue ce dimanche 13 mars à Rabat, "en protestation contre les déclarations biaisées" du Secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, sur le Sahara marocain.

"L'ensemble des citoyennes et citoyens sont invités à participer massivement à cette marche" qui débutera sur la place Bab Chellah à 10 heures, pour "dénoncer ces propos et réaffirmer le consensus national autour de l'intégrité territoriale du Maroc", lit-on dans un appel relayé samedi par l'agence MAP.

Les déclarations du Secrétaire général de l'ONU lors de sa récente visite dans la région sont "partiales et dépourvues d'objectivité, heurtent les sentiments du peuple marocain tout entier et portent atteinte à notre intégrité territoriale", soulignent encore les organisateurs.

Lors de sa visite à Tindouf dimanche dernier, le Secrétaire général de l’ONU avait utilisé le terme "occupation" pour qualifier le recouvrement par le Maroc de son intégrité territoriale, "ce qui déroge de façon drastique avec la terminologie traditionnellement utilisée par les Nations unies s'agissant du Sahara marocain", indique le gouvernement marocain dans un communiqué publié dans mardi 8 mars.

Le gouvernement a également souligné avec "une grande stupéfaction les dérapages verbaux, les faits accomplis et les gestes de complaisance injustifiés de M. Ban Ki-moon, Secrétaire général des Nations unies, durant sa récente visite dans la région".


LIRE AUSSI:





Viewing all 7637 articles
Browse latest View live


<script src="https://jsc.adskeeper.com/r/s/rssing.com.1596347.js" async> </script>