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L'animatrice marocaine Samira El Beloui nouvelle égérie d'Oriflame au Maroc

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BEAUTÉ - Après avoir collaboré avec la chanteuse marocaine Latifa Raafat en tant qu'égérie depuis 2014, la marque de cosmétique suédoise Oriflame a choisi le nouveau visage de ses campagnes publicitaires.

Et c'est la présentatrice de 2M Samira El Beloui qui est la nouvelle égérie d'Oriflame pour sa nouvelle gamme de crèmes éclaircissantes et anti-âge. Un choix loin d'être fortuit puisqu'Oriflame est aussi sponsor du talk-show matinal "Sabahiyate 2M", animé par Samira El Beloui.

"Je n'ai pas hésité une seconde"

"Je ne vous cache pas que je n'étais pas très familière avec la marque, mais quand on m'a appelé pour être son ambassadrice, je n'ai pas hésité une seconde", a confié Samira El Beloui lors d'une conférence de presse organisée à Casablanca ce mercredi 9 mars.

"Ce qui m'a le plus encouragé à accepter cette collaboration, c'est le fait de représenter la femme marocaine. J'ai 40 ans et on me dit souvent que j'en fais beaucoup moins, c'est donc un honneur pour moi d'être le visage de cette nouvelle gamme", a-t-elle ajouté.

Diplômée de l'Ecole des beaux-arts à Casablanca, Samira El Beloui n'est pas qu'un beau visage. Présente dans le métier depuis plusieurs années, c'est sur 2M qu'elle a fait ses premiers pas.

Alors qu'elle n'était que stagiaire, elle a réussi très rapidement à obtenir un poste de graphiste. De fil en aiguille, elle présente sa première émission pour enfants et devient très rapidement une figure incontournable du petit écran.

"J'ai gravi les échelons en travaillant dur"

"Je viens d'une famille de classe moyenne, j'ai commencé dans le métier il y a 17 ans alors que je n'étais que stagiaire chez 2M, j'ai gravi les échelons en travaillant dur. Aujourd'hui, je suis une éditrice en chef et une présentatrice épanouie", a-t-elle confié au HuffPost Maroc.

"Novage", le nouveau projet dont elle fait la promotion, est une gamme de crèmes composée de six produits destinés à l'hygiène quotidienne de la peau. Hormis la gamme éclaircissante pour les femmes de tout âge sujettes aux tâches brunes, les crèmes anti-âge quant à elles, ciblent les femmes de 25 à 40 ans.

"Novage est une solution anti-âge ciblée et sur mesure. 80% des facteurs de vieillissement dépendent de l'environnement et du style de vie. Notre but est justement d'habituer la femme marocaine à une hygiène de beauté quotidienne grâce à des produits différents selon l'âge, le type de peau mais également le teint", a expliqué Rihab Nabil, chargée de communication d'Oriflame.

Implantée au Maroc depuis 1997, Oriflame est une société suédoise de vente directe qui se spécialise dans les produits cosmétiques. Fondée en 1967 par les frères Jochnick, elle a rapidement trouvé sa place dans le marché du cosmétique au Maroc en se forgeant une clientèle fidèle grâce à ses prix abordables et sa large gamme de produits de beauté vendus partout dans le royaume.


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Méditel va bientôt changer de nom

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TÉLÉCOMMUNICATION - La reconfiguration de Méditel se poursuit. Selon quotidien français les Echos, l'opérateur marocain sera rebaptisé d'ici la fin de l'année Orange, du nom de son principal actionnaire.

Après que la filiale égyptienne du groupe français, Mobinil, est devenue Orange Egypte, le PDG d’Orange Stéphane Richard a en effet annoncé que les autres filiales, notamment Méditel pour le Maroc et Mobistar pour la Belgique, suivront le même chemin d’ici à fin 2016. En Juillet 2015, le groupe de télécoms français avait renfoncé sa présence dans le capital de Méditel, en portant à 49 % sa participation.

Le groupe Orange, qui réalise 15 % de son chiffre d’affaires dans la région Afrique et Proche-Orient, suit sa stratégie d’expansion dans le continent en rachetant Cellcom au Liberia, les filiales d’Airtel au Burkina Faso et en Sierra Leone, et Tigo en République Démocratique du Congo.

LIRE AUSSI: Méditel sauve les meubles





En 2015, Saham Assurance Maroc pèse 3.773 millions de dirhams

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ASSURANCES – 2015 aura été une année charnière pour le groupe Saham Assurance Maroc, jalonnée de changements d’ordre réglementaire, notamment. C’est ainsi que le président-directeur général (PDG) de la société, Ahmed-Mehdi Tazi, a introduit la présentation de l’activité et du résultat 2015 lors d’une conférence de presse ce mercredi 9 mars au siège de la compagnie, à Casablanca. Une rencontre à laquelle ont pris part Mahmoud Oudrhiri, directeur général délégué gestion et support et Kawtar Johrati, directrice générale de la gestion d'actifs.

Le premier de ces changements concerne l’installation officielle de la nouvelle Autorité de contrôle des assurances et de la prévoyance sociale (ACAPS). Elle est présidée par Hassan Boubrik, anciennement à la tête de la Direction des assurances et de la prévoyance sociale (DAPS), conformément à sa nomination par le roi Mohammed VI le 6 février dernier.

Parmi les chantiers qui se dressent face à l’ACAPS, l’achèvement de l’installation des autres organes de l’autorité, la mise en place des différentes commissions prévues par la loi qui régit les assurances et des "nouveaux processus de contrôle et de supervision", entre autres, avait indiqué à l’Economiste Hassan Boubrik.

La création de cette entité intervient dans le cadre du contrat-programme 2011-2015 signé entre le gouvernement et les professionnels du secteur de l’assurance en 2011.

Assouplir les critères d’accès à la profession

Autrement changement, l’assouplissement de l’accès à la profession pour les intermédiaires en assurance et l’augmentation de contrôles réglementaires. La loi sur les assurances a également subi une modification pour les accidents du travail, censée "apporter plus d’avantages pour les assurés puisque les préjudices moraux leur seront désormais indemnisés", a souligné Ahmed-Mehdi Tazi.

Une nouvelle circulaire sur le recouvrement s’ajoutera à ces changements d’ici les prochaines semaines: "les assurances automobiles devront dorénavant être réglées au comptant afin d’assainir la branche la plus importante de l’assurance et protéger les intermédiaires, puisqu’ils subissaient jusqu’à présent les impayés de la part de leurs clients".

Un chiffre d’affaires en croissance de 2.5%

Si la croissance du chiffre d’affaires de Saham Assurance Maroc sur l’année 2015 se veut "modérée" (+ 2.5%), la compagnie peut compter sur la croissance des assurances Non-Vie qui, elles, enregistrent une hausse de 3.1% par rapport à l’exercice 2014. Soit un chiffre d’affaires qui plafonne actuellement à 3.410 millions de dirhams.

L’activité Vie accuse quant à elle une baisse de 2.2% de son chiffre d’affaires par rapport à 2014, pour s’établir à 363 millions de dirhams. En tout, la filiale marocaine de la branche assurance du groupe Saham a réalisé, au terme de l’année 2015, un chiffre d’affaires global de 3.773 millions de dirhams.

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Siemens installera à Tanger un site de production de pales pour éoliennes terrestres

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ÉOLIENNES – C’est un accord qualifié de majeur qui vient d’être conclu aujourd’hui entre le gouvernement marocain et Siemens. Le groupe allemand spécialisé dans les hautes technologies, également présent dans les secteurs de l’industrie, l’énergie et la santé, construira à Tanger un site de production de pales pour éoliennes terrestres.

Le futur site de production, qui a nécessité un investissement de 100 millions d’euros, devrait s'étendre sur une superficie de 37.500 mètres carrés sur la zone industrielle de Tanger Automotive City, à 35 kilomètres environ du port de Tanger-Med. A terme, 700 emplois devraient être créés.

L’usine desservira les marchés éoliens d’Afrique du Nord, du Moyen-Orient et d’Europe. Sa construction devrait débuter dès le printemps 2016, avec une entrée en exploitation prévue pour le printemps 2017.

"Toutes les conditions requises"

Situé entre l'Europe et l'Afrique, le port de Tanger-Med "offre toutes les conditions requises pour la manutention et l'exportation des pales vers différentes destinations en Afrique du Nord, au Moyen-Orient et en Europe", peut-on lire dans le communiqué du groupe.

"La position stratégique de la ville de Tanger et la proximité d'un port aux normes internationales comme Tanger-Med, sont autant de facteurs qui font de Tanger le lieu d'implantation idéal de notre nouvelle usine", a déclaré Slim Kchouk, directeur général de Siemens Maroc.

"Nous investissons là où les débouchés nous paraissent les plus prometteurs", a commenté de son coté Markus Tacke, directeur de la division Wind Power and Renewables de Siemens Monde. "L’économie est solide, le climat politique stable, et le Maroc possède une main-d’œuvre jeune, qualifiée et motivée".

Couvrir 42% des besoins énergétiques marocains

Les énergies propres et renouvelables jouent un rôle crucial pour répondre à la demande énergétique croissante du pays. L'objectif du gouvernement marocain est de couvrir 42 % de ses besoins énergétiques à partir de sources renouvelables à l'horizon 2020, dont 20% grâce à l’éolien. Cet objectif a été revu à la hausse et fixé à 52% d'ici 2030, comme l'avait annoncé le roi Mohammed VI en décembre dernier, à l'occasion de la COP 21 à Paris.

Siemens compte déjà à son actif plusieurs projets dans le domaine des énergies renouvelables au Maroc. Parmi eux, le parc éolien de Tarfaya, d'une capacité de 300 mégawatts ainsi que celui de Haouma de 50 mégawatts, réalisés avec le partenaire marocain Nareva. Le groupe est présent au Maroc depuis 1956 à travers son entité juridique locale, Siemens SA.


LIRE AUSSI: Le Maroc casse les prix sur les énergies éoliennes





Le Maroc accueillera la plus haute tour d'Afrique

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URBANISME - Mercredi sur la rive droite de Bouregreg (préfecture de Salé), le roi Mohammed VI a lancé travaux de construction de la plus haute en Afrique. Edifiée par le groupe BMCE, cette tour de 45 étages et 250 m de hauteur intègrera dans sa conception des technologies permettant une meilleure efficacité énergétique, puisqu'un tiers de la surface totale de la façade sera couvert de panneaux photovoltaïques devant satisfaire les besoins de la tour en électricité.

Construite sur un terrain de 3 hectares, le futur édifice devra abriter un auditorium de 350 places, des services et des commerces au rez-de-chaussée, une composante bureaux sur les 12 premiers étages, une partie résidentielle du 13e au 26e étage (55 appartements) et un hôtel de luxe aux étages supérieurs. Les quatre derniers étages seront réservés à des appartements de très haut standing.

Cette tour, dont la réalisation nécessitera un budget prévisionnel de l'ordre de 3 milliards de dirhams constituera le point culminant de la nouvelle séquence d'aménagement de la vallée de Bouregreg, une des principales composantes du programme "Rabat Ville Lumière, Capitale Marocaine de la Culture", lancé par le roi en mai 2014.

Ce plan d'aménagement prévoit en effet la réalisation du Grand Théâtre de Rabat, la Maison des arts et de la culture, la bibliothèque des archives nationales du royaume du Maroc, le Musée archéologique et des sciences de la terre, un Cinéma multiplexe, une galerie de sculpture, une Marina, un Art hôtel, une marina hôtel, un Mall et des commerces, un Business Center, des résidences et des équipements publics et privés.

LIRE AUSSI: Rabat aura sa bibliothèque des archives et sa maison des arts et la culture






Zlatan libère le PSG (VIDÉOS)

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FOOTBALL - Un match a très haute intensité. Alors que les Parisiens pensaient s'être mis à l'abris en inscrivant rapidement le 1er but de la rencontre au bout d'un quart d'heure de jeu, l'égalisation survenue 15 minutes plus tard par Diego Costa a donné des ailes aux "blues" qui ont surclassé le PSG jusqu'à la mi-temps et on fait douter les coéquipiers de Zlatan.

Au final, Paris s'est imposé sur le score de 2 à 1 grâce à son leader charismatique,"Ibra", magnifiquement servi par Angel Di Maria.

C'est sur une passe décisive de Zlatan Ibrahimovic que le premier a été inscrit par le jeune Adrien Rabiot, le "joker" de Laurent Blanc qui a remplacé à la dernière minute l'explosif Marco Verratti. Ci-dessous, le but du jeune français.

Ibrahimovic passeur, Rabiot buteur contre Chelsea !Sur un caviar de Zlatan Ibrahimovic, Adrien Rabiot a ouvert le score contre Chelsea. > Paris est lancé ! http://po.st/naiAUH #CHEPSG

Posté par beIN SPORTS France sur mercredi 9 mars 2016



Diego Costa s'est complètement baladé dans la surface parisienne, se défaisant avec une facilité déconcertante son vis-à-vis parisien, Thiago Silva. Un superbe enchaînement pour une frappe du gauche, que vous pouvez retrouver ci-dessous.

[VIDEO] Diego Costa relance Chelsea ! L'avant-centre espagnol s'est amusé de Thiago Silva avant d'ajuster facilement Kevin Trapp. > Chelsea revient à 1-1 contre Paris : http://po.st/BsSFPU #CHEPSG

Posté par beIN SPORTS France sur mercredi 9 mars 2016



Puis, Zlatan a tué le match en inscrivant un but à la 69ème. Le PSG, qui avait déjà éliminé les Blues au même stade de la compétition la saison précédente, rejoint donc en quarts de finale le Benfica Lisbonne, qui a disposé plus tôt du Zenit Saint-Petersbourg (1-0, 2-1), ainsi que le Real Madrid et Wolfsburg, qualifiés mardi.

[VIDEO] Ibrahimovic assomme Chelsea ! Passe lumineuse de Motta, centre en une touche de Di Maria et Ibrahimovic à la conclusion> Paris a un pied en quarts de finale ! http://po.st/Aafq8a #CHEPSG

Posté par beIN SPORTS France sur mercredi 9 mars 2016



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Ces marques marocaines qui font le luxe d'aujourd'hui

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LUXE - Le marché du luxe se fraye petit à petit un chemin au Maroc, pas seulement grâce aux franchises haut de gammes qu'il détient, mais aussi grâce à des marques "made in Morocco" qui ont rapidement su tirer leur épingle du jeu. De la joaillerie, du prêt-à-porter en passant par l'immobilier, zoom sur ces marques qui font le luxe d'aujourd'hui.





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Le plan Ramid pour sauver le projet de Code pénal

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RÉFORME - Si Mustapha Ramid devait avoir un dessein ultime, ce serait celui de faire passer le projet de Code pénal "durant le mandat gouvernemental en cours. L'histoire retiendrait ainsi le nom de Ramid comme étant l'auteur de cet arsenal juridique", écrivait, il y a quelques semaines, le journal en ligne Medias24.com, saisissant l'enjeu de la réforme du Code pénal.

C'était en avril 2015. Le maître-mot était #Code_Pénal_no_pasaran, (#Le_Code_Pénal_ne_passera_pas), et activistes, militants et simples citoyens entendaient faire barrage à l'avant-projet de Code pénal élaboré par le ministre de la Justice Mustapha Ramid. La mobilisation a fini par payer, et l'avant-projet de Code pénal a fini par être retiré du circuit législatif.

Près d'un an plus tard, le ministre de la Justice garde un souvenir vivace de la mobilisation qui a suivi la publication de l'avant-projet de Code pénal. Mais, autant appréhende-t-il un possible rejet de son projet de loi, autant est-il déterminé à réformer le Code pénal, cette antiquité certes ponctuellement amendée, mais dont la charpente date de 1962. À 7 mois des législatives, le ministre ne peut jouer la montre, ni ouvrir un front contre la frange progressiste de la société. Il optera donc pour la tactique la moins énergivore et la moins chronophage.

Diviser une loi pour mieux la faire passer?

Comment s'assurer qu'un projet de loi comportant des dispositions susceptibles de se heurter à l'opposition d'une frange de la société, et, par extension, du parlement, passe? En le fractionnant en plusieurs textes de lois. Selon nos informations, il n'est pas inenvisageable que le projet de Code pénal soit fractionné en plusieurs projets de lois: ainsi, les nouvelles dispositions les plus consensuelles --peines alternatives, renforcement du dispositif punissant l'enrichissement illicite-- passeront en premier, les autres viendront plus tard. Cette démarche garantira le bon avancement du dossier au parlement, et fera qu'en cas de blocage ou de désaccord sur l'une des lois composant le nouveau Code pénal, l'examen des autres textes de loi soit assuré.

Ainsi, le ministre a d'ores et déjà déposé un "fragment" de Code pénal au parlement, en l'occurrence le projet de loi N°73.15 amendant le Code pénal, et ses dispositions relatives aux outrages envers la religion, la monarchie et les incitations contre l'intégrité territoriale du Maroc.

Pour la com', la carpe comme modèle

Ministre peu communicatif à la tête d'un département aphone, Mister No com' a bien compris que la publication d'une loi jugée liberticide ne peut se conjuguer avec une faible communication, et nécessitera des sorties publiques calibrées, des justifications convaincantes.

Autant, donc, ne rien publier du tout: alors que la rédaction du projet de Code pénal a été finalisée par les juristes du ministère de la Justice, et que le projet de loi est déjà "au niveau du Secrétariat général du gouvernement", selon les déclarations faites par Ramid au HuffPost Maroc, il ne sera rendu public que dans quelques semaines.

D'ici là, peu de choses filtrent sur ce projet de loi. Et ce peu de choses, ce sont des informations à vocation rassurante, rassérénante. Ainsi, on apprend via le portail du Parti de la justice et du développement (PJD), qui s'est entretenu avec le ministre, que le projet de Code pénal sera épuré de tout ce qui pourrait "revêtir un caractère idéologique et susciter des désaccords", et que ne seront conservées que les dispositions qui "entrent dans le cadre de la réforme de la justice."

L'annonce même d'une refonte du projet de Code pénal n'a pas été faite par le ministre: ce n'est que suite à la publication, sur Médias24.com, d'un article sur le sujet que le portail du PJD a communiqué sur le projet de Code pénal, alors même que le site du parti, tout comme le ministre, évoquaient précédemment, sans pour autant parler de projet de Code pénal, un projet de loi en préparation, visant à instaurer des peines alternatives. Ce n'est que bien plus tard que l'on apprendra que ce projet de loi fait partie, plus largement, du dispositif pénal en préparation.



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Un Franco-marocain élu Mister France 2016

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PEOPLE - Des rings au titre de plus bel homme en France, il n'y a qu'un pas. Un pas que le Franco-marocain Selim Arik vient de franchir. Mardi soir au théâtre Pierre-Cardin à Paris, ce boxeur semi-professionnel a été sacré Mister France 2016 devant 15 autres candidats. Il représentait la région du Centre Val de Loire.

"22 ans, un regard ténébreux, un sourire éclatant, 1m91 et 89 kg de muscles. Des atouts de taille qui ont séduit mardi soir le jury du concours de beauté, présidé par le mannequin Clara Morgane", écrit Jeune Afrique.

"Un grand merci à tous ceux qui m'ont soutenu aujourd'hui je remporte une victoire symbolique !!!!!", a tweeté dans la foulée le grand gagnant du concours.

"J'étais confiant car je suis de nature confiante mais de là à me voir vainqueur avant l'heure, non j'y pensais pas ! J'ai tout donné, j'ai dit tout ce que j'avais sur le coeur, je suis venu avec une attention vraiment forte, un message d'unité", a-t-il expliqué après son sacre.

Né d'une mère française et d'un père marocain, Selim Arik semble tenir sa passion pour la boxe de sa famille. Comme l'a rappelé le principal intéressé suite à son élection, "mon grand-père a été le premier entraîneur de l'équipe de boxe du Maroc. Mon père a été champion d'Afrique sous les couleurs du Maroc (il a notamment représenté le royaume aux Jeux Olympiques en 1985, ndlr) et moi j'ai boxé pour les deux drapeaux."

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Hasna Aït Boulahcen sera finalement inhumée en France

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ATTENTATS - Elle devait être inhumée au Maroc, ce sera finalement dans le carré musulman du cimetière municipal de Tremblay-en-France que Hasna Aït Boulahcen reposera, affirment ce jeudi 10 mars Le Parisien et TF1.

"L'inhumation d'Hasna se fera dans les prochains jours. Concernant la date exacte, tout dépendra des pompes funèbres", a indiqué à la chaîne l'avocat de la famille Fabien Ndoumou. "Nous respectons la volonté de la famille, il n'est pas question de polémiquer", indique-t-on du côté de la mairie, précisant que la stèle de la cousine d'Abdelhamid Abbaoud sera anonyme.

Le silence du Maroc

La justice française avait délivré un permis d'inhumer pour Hasna Aït Boulahcen fin janvier car sa famille, d'origine marocaine, avai émis le désir qu'elle soit enterrée dans ce pays. Cependant, le Maroc tardait dans sa réponse à la famille. "La demande a été faite il y a un mois. Nous n'avons toujours pas de réponse", déplorait Me Fabien Ndoumou la semaine dernière. "Si nous n'avons pas de retour des autorités marocaines d'ici une dizaine de jours, la famille fera inhumer Hasna Aït Boulahcenen en France", avait-il ajouté.

Née en France, Hasna Aït Boulahcen est morte à 26 ans, le 18 novembre dernier, lors de l'assaut du Raid dans l'appartement de Saint-Denis où son cousin, le jihadiste belge Abdelhamid Abaaoud et un autre des assaillants du 13 novembre, Chakib Akrouh, avaient trouvé refuge. L'aide de la jeune femme, radicalisée en quelques mois, avait été décisive pour trouver ce logement.

Plus de trois mois après les attentats les plus meurtriers de l'histoire de France (130 morts, plusieurs centaines de blessés), seuls deux jihadistes du Bataclan ont été inhumés en région parisienne, Samy Amimour et Omar Mostefaï.

LIRE AUSSI: La famille d'Hasna Aït Boulahcen porte plainte contre X





Quand le Centre cinématographique marocain avoue que les chiffres des investissements étrangers étaient "bidonnés"

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CINÉMA - C'est un communiqué un peu particulier que le Centre cinématographique marocain (CCM) a publié jeudi 10 mars sur son site, quelques jours après avoir rendu publics les chiffres officiels des budgets investis par les productions étrangères au Maroc en 2015.

Des chiffres qui montraient une tendance à la baisse, les sommes investies étant passé de 1,166 milliard de dirhams en 2014 à 336,4 millions de dirhams un an plus tard. Plusieurs médias avaient alors spéculé sur les raisons de cette importante baisse.

Selon le CCM, "des esprits malveillants ont fait une lecture biaisée des chiffres qui concernent la production étrangère au Maroc. D’après cette lecture orientée, le Maroc aurait subitement été boudé par les producteurs étrangers à cause, selon eux, de la 'politique de censure' qui serait menée par le gouvernement et par le Centre cinématographique marocain".

"Les producteurs mettaient ce qu'ils voulaient"

Problème: le CCM lui-même explique que les chiffres qu'il délivrait chaque année sur les budgets investis par les productions étrangères venues tourner au Maroc n'étaient en fait pas fiables jusqu'à fin 2014. "Ces chiffres étaient calculés sur la base des seuls montants déclarés par les producteurs étrangers à l'appui de leurs demandes d'autorisation de tournage. Jusqu'en décembre 2014, aucune vérification n’était faite, ni a priori ni a postériori, pour confirmer ou infirmer ces chiffres", indique le CCM.

Interrogé par le HuffPost Maroc, Sarim Fassi Fihri, directeur du CCM, avoue que jusqu'à ce qu'il prenne la tête du centre en octobre 2014, ces chiffres étaient "bidonnés". "Les producteurs mettaient ce qu'ils voulaient, et cela faisait plaisir à tout le monde", ajoute-t-il.

Des chiffres jusqu'à trois fois supérieurs aux montants réels

Ainsi, "les sociétés de productions ont parfois, voire souvent, tendance à déclarer des montants surestimés afin de mieux intéresser les pouvoirs publics et de faciliter ainsi leurs demandes d'autorisations spécifiques ou de mise à disposition des services, des moyens et des biens de l'Etat pour les besoins de leurs tournages", peut-on encore lire dans le communiqué. "Les chiffres déclarés auparavant étaient deux, voire trois fois supérieurs aux montants réels des investissements".

D'où l'apparente baisse des investissements d'une année à l'autre. "Mais depuis janvier 2015, on oblige les productions étrangères à fournir une attestation du chiffre d'affaires à la fin du tournage et un document de leur établissement bancaire au Maroc", fait valoir M. Fassi Firhi, qui explique qu'il serait maintenant "très difficile voire impossible" de faire une vérification a posteriori des chiffres donnés les années précédentes.

Si le CCM souhaite désormais jouer la carte de la transparence, c'est aussi pour permettre aux productions étrangères d'obtenir le nouvelle remise de 20% sur investissement, une incitation fiscale lancée fin 2015 par le CCM qui vise à encourager le cinéma étranger à venir tourner dans le royaume.

LIRE AUSSI: Lieux de tournage: Le cinéma marocain fait sa promotion au Festival de Berlin





Cristiano Ronaldo et son fils s'entraînent au tir (VIDEO)

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FOOT - Mercredi 9 janvier, Cristiano Ronaldo a mis en ligne une vidéo de ses entraînements avec son fils de cinq ans.
La vidéo, publiée sur le compte Twitter de la star portugaise du Real Madrid, le montre en compagnie de son fils pour un entraînement aux tirs. Le joueur montre les cibles à son fils, et lui demande des les atteindre. Après plusieurs tentatives infructueuses, Cristiano Junior réussit finalement à toucher une cible, au grand bonheur du père, qui le prend dans ses bras et lui demande de dire "I did it !" à la caméra.




L'attaquant du Real Madrid avait récemment fait les choux gras de la presse marocaine, après son voyage à Marrakech en compagnie de son fils et de sa mère Maria Dolores.


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Critique: "La Révolution n'a pas eu lieu" de Sonia Terrab, au-delà du 20 février

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HISTOIRE - Almoravides, almohades, colonisation, Marche Verte, décolonisation... L'histoire du Maroc, c'est celle qui raconte ses dynasties, ses triomphes et ses défaites, ses conquêtes et ses règnes.. L'histoire avec un grand H, qui parle du pays comme d'un tout homogène qui serait, tout ensemble, allé faire la guerre, puis la paix, et aurait connu unanimement la croissance ou la crise.

Parmi les derniers - grands - épisodes qui ont marqué le Maroc, il y a eu le 20 février. Les Printemps arabes. La réforme constitutionnelle. Le Oui. Les Non. Tout le monde a eu son avis: certains ont encouragé/participé aux revendications et y ont vu un signe de modernité et une forme inédite d'expression. D'autres ont craint la menace du chaos, et ont déploré ces mouvements "inspirés d'une envie d'Occident, de tout renverser, tout foutre en l'air avec rien à proposer". Entre les deux, une grande masse s'est confortée dans un NIMBY assumé. Not In My Backyard. Les libertés, oui, mais pas au prix de ma tranquillité.

Quoiqu'il en soit, il serait bien ambitieux de vouloir condenser les oui-les-non-les-plus-les-moins de ce mouvement en quelques lignes. Et plutôt que de discuter l'Histoire, ce que Sonia Terrab a réussi à faire brillamment dans La Révolution n'a pas eu lieu, c'est nous infiltrer au cœur même du Printemps marocain en nous racontant une histoire, d'amour, née dans ce contexte fort. Car l'histoire d'un pays, c'est aussi celle de ses femmes et de ses hommes, de ceux qui s'y croisent et s'y rencontrent tous les jours, foulent ses terres au quotidien, s'y aiment et/ou s'y confrontent.

Ainsi, dans ce deuxième roman de Sonia Terrab, si les premiers mois de l'année 2011 ont été ceux des engagements et de l'expression sur le Web, à cette période, d'autres toiles se sont tissées dans la société marocaine.. Parce qu'en février 2011, Ilyas et Meya se rencontrent, et c'est d'amour qu'il est question.

Meya a 20 ans: casablancaise, fougueuse, libre, indépendante, forte, presque à l'excès. Elle traine de bars en bars et de bras en bras. Pour rien au monde Meya ne renoncerait à sa liberté, fut-ce au prix du risque de ne laisser personne s'immiscer dans les recoins bien cachés de sa vie. Ilyas est doctorant en sciences politiques à Paris. Il revient à Casablanca mêler sa voix à celles des contestations, fier pour la première fois de son appartenance à une communauté marocaine et arabe qui se révolte, se questionne, et prend position pour son avenir. Petit à petit, ce bourgeois d'apparence fidèle aux conventions est confronté à la différence entre ce qu'il espère, et ce qui se produit dans son pays.

Tout au long de ce magnifique roman, la Révolution qui n'a pas lieu, c'est celle de l'amour de ces êtres. C'est l'impossibilité pour ces deux jeunes Marocains de réussir à s'aimer: Ilyas est trop plongé dans ses idéaux et sa philosophie, et Meya trop ancrée dans la réalité. Le problème, c'est qu'entre la liberté telle qu'Ilyas la conçoit, et la manière dont Meya vit la sienne, le concept se heurte souvent au contexte. Et quand aucun des deux n'est capable de faire un pas vers l'autre, quand se changer soi-même est une concession qu'aucun n'est prêt à faire, il n'est pas étonnant, qu'autour, rien ne change.

Si ces personnages de roman, à l'image d'une Jiji - cousine de Meya - qui passe ses journées dans les malls et ses soirées dans les endroits huppés de la capitale, pourraient rappeler des caricatures bien établies de la société marocaine, il n'y en a aucun qui corresponde entièrement à un archétype. Meya et Ilyas sont, justement, pleins de contradictions, de personnalité, et d'individualité.

Sonia Terrab donne le droit à ses personnages d'être eux-mêmes, sans artifices visant à en faire les héros de leur génération, de leur classe, voire de leur genre. On rencontre Meya et Ilyas tels quels, et c'est dans leur échecs et leur immobilisme les plus frustrants que l'on cherche la force de se questionner.

Avec cette aventure touchante, l'auteure nous infiltre en plein cœur du Printemps arabe marocain, avec un récit vrai, plein de réalité, sublimant ainsi toutes les petites histoires qui font les grandes.

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Amir Rouani, de la publicité au cinéma (PORTRAIT)

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CINÉMA - Alors qu'il travaille d'arrache-pied sur deux longs métrages, le cinéaste Amir Rouani, propulsé au devant de la scène cinématographique en réalisant la mini-série "L'Couple", qui a rencontré un succès important lors de sa diffusion pendant le mois de ramadan, a une longue carrière derrière lui et des rêves plein la tête.

Baignant depuis son plus jeune âge dans le monde de l'image, ce cinéaste aguerri a commencé sa carrière à seize ans, en s'initiant à l'animation. Depuis, le trentenaire casablancais a réalisé quelques centaines de publicités qui ont marqué le paysage télévisuel marocain. On se souviendra notamment de ses spots publicitaires hauts en couleur pour l'opérateur téléphonique inwi, avec en guest star l'humoriste Hassan El Fad.



Si El Fed a contribué à le faire connaitre auprès du public lors de la sortie de la série humoristique "L'Couple", ce n'est pourtant pas leur première collaboration. Amir Rouani était déjà derrière la caméra pour la réalisation du désormais classique "Chanily TV", programme satirique lancé par Hassan El Fad il y a une dizaine d'années et diffusé sur la chaîne nationale Al Aoula.

Avant de "s'éclater" en réalisant des programmes à succès destinés au grand public, Rouani a longtemps été un soldat de l'ombre à la chaîne Arriyadia en tant que directeur artistique, écrit le site d'information NssNss. Ce dompteur de l'image n'est pas qu'un réalisateur de pubs et de séries comiques, puisqu'il laisse également cours à sa créativité lors de projets qui lui tiennent à coeur.



En 2014, il publie son premier court métrage. "Jezebel" est un thriller d'une quinzaine de minutes qui raconte l'amitié paradoxale de deux Casablancais. L'un est médecin, menant un rythme de vie équilibré, l'autre est un coureur de jupons, mais tout deux ont beaucoup de choses à partager lors de longues nuits casablancaises. L'acteur Younes Bouab, maîtrisant à la perfection l'univers de Casa by night, ayant déjà joué le rôle principal dans "Casanegra", y campe le rôle principal.

Réalisateur de clips à la chaîne

Le talent de Rouani se confirme lorsqu'il se lance dans la réalisation de vidéos clips pour les chanteurs marocains les plus prisés du moment. Tout commence il y a deux ans lorsqu'il offre ses services à Sy Mehdi, qui enregistre une chanson avec l'actrice Samia Akarriou. Amir Rouani, derrière sa caméra, filme un univers pop, riche en couleurs et simple à la fois, qui séduira des milliers de Marocains à la télé comme sur Internet.



Cette "carte de visite" lui permettra d'être repéré par les stars montantes de la chanson qui feront de lui leur coqueluche. Le vidéo clip le plus visionné sur Youtube dans le monde arabe sur Youtube? C'est lui ! En 2015, il réalise "Lm3llem", titre qui signe le come-back de Saad Lamjarred. Si la chanson est des plus efficaces et rencontre un franc succès sur les ondes, l'image y est pour quelque chose également.



Epaulé par l'artiste contemporain Hassan Hajjaj, qui élabore l'ensemble des costumes du clip, Amir Rouani conçoit une vidéo pop art mêlant un univers résolument warholien à des détails typiques de la culture marocaine. La vidéo séduit le public et s'approche à grand pas des 300 millions de vues sur Youtube. Un record.



La chanteuse Jamila fait également appel à ses services pour réaliser le clip "Blach Blach". Celle qui s'est fait connaitre avec sa chanson délirante "Demdouma" a souhaité opter pour une esthétique plus léchée et moins adolescente. Rouani réalise donc un clip où des costumes originaux se superposent à des fonds identiques, une technique longuement utilisée par des artistes de renommée internationale à l'image de Lalla Essaydi. Le résultat est frais, accompagne bien la chanson et fait un tabac sur les réseaux sociaux.



Aujourd'hui, s'il n'arrête pas de faire de la publicité, Amir Rouani aspire à se donner plus de temps pour affirmer sa touche artistique. Deux grands projets sont en cours pour le Casablancais trentenaire. "Le premier, c'est un long métrage, avec Abdelali Almhar, qui s'intitule 'Blue Hour' et le deuxième, très passionnant, avec la grande Mouna Fettou", a-t-il révélé à NssNss. Une nouvelle collaboration avec Hassan El Fad n'est pas à exclure. Si le couple Kabbour et Chaibia ne reviendront probablement pas à l'écran ensemble, le paysan le plus drôle du pays pourrait bientôt revenir sur les écrans marocains accompagné d'un ami de longue date, Lehbib.



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Au Maroc, les startups montent doucement... mais sûrement

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ENTREPRISES – Donner un coup d’impulsion au tissu entrepreneurial marocain en favorisant l’émergence des startups. C’est la double ambition portée par l’espace Bidaya, inauguré mardi 8 mars à Casablanca, d’après Les Inspirations éco .

Un incubateur de startups principalement tourné vers les entreprises ''en amorçage, innovantes, à impact social et/ou environnemental'', dont le Comptoir de l’innovation revendique la création.
L’objectif est de contribuer au renforcement des dispositifs d’accompagnement des entrepreneurs sociaux au Maroc , indiquent les fondateurs du projet.


Dans le détail, les projets couvés au sein de l’espace bénéficieront d’un accompagnement sur mesure pendant un an. Les entrepreneurs se verront également dispenser des formations. Au programme, problématiques de gestion et ateliers de coaching stratégique, entre autres. Des entrepreneurs disposant d’une solide expérience dans le domaine de l’entreprenariat et des startups pourront également servir de mentors à leurs confrères benjamins.


Un processus d’accompagnement auprès de la jeunesse.


L’espace Bidaya succède ainsi au Dare Space, ouvert depuis le 30 juin 2015 à Rabat. L’incubateur avait été mis en place par le Centre marocain pour l'innovation et l'entrepreneuriat social un mois auparavant. Le concept? Sélectionner de jeunes entreprises à fort potentiel de développement orientées sur l'entrepreneuriat social, et les accompagner depuis les premiers germes de leur concept jusqu'à la commercialisation de leur produit sur le marché.

''Le Dare Space est un espace qui va servir de lieu de travail dans un premier temps. Le grand public, nos start-ups et nos partenaires peuvent venir y travailler comme dans n'importe quel autre espace de co-working. Ce sera également un endroit de formation autour de l'innovation, de l'entrepreneuriat et d'autres thématiques liées'', a confié au HuffPost Maroc Eric Asmar, directeur de Dare Inc.

Un incubateur dont le programme s’articule autour de trois axes: ''la définition de la problématique et la proposition d'une solution'', un modèle économique concentré sur ''le MVP (minimum viable product, ndlr), un prototype validé économiquement en terme d’impact'' et, enfin, ''le lancement du projet sur le marché et la multiplication de son impact''.

QUOTE

Les startups marocaines recensent une poignée de success stories. Parmi elles, Lolly's, dont le produit phare est la semoule. Sa conceptrice et cofondatrice, Lamiaa Bounahmidi, s’était vu décerner en 2013 le 1er prix du Startup Cup Maroc 2013.

L’entreprise Mining Essential, créée par le docteur Abderrafih Lehmam, rejoint elle aussi les success stories des startups ''made in Morocco''. Elle a notamment développé le logiciel de traduction ''Essential Summerizer'', qui consiste en un résumé de textes automatiques disposant de plusieurs fonctionnalités. Un outil sollicité par le ministère français de l’Intérieur, l’Arabie saoudite ou encore les Emirats arabes unis, selon l’Economiste.








La logistique au Maroc, moteur de croissance de l'économie

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LOGISTIQUE – C’est une cérémonie d’un tout autre genre qui vient d’être créée au Maroc. La grand-messe de la communauté logistique marocaine se réunira en effet lors des Moroccan Logistics Awards, rapporte Les Inspirations éco. La 1ère édition se tiendra le 12 mai prochain à Casablanca, indique le ministère de l’Equipement, du transport et de la logistique sur son site.

Des trophées qui récompensent les prouesses logistiques du royaume et souhaitent mettre en avant les meilleures réalisations et innovations en logistique, ainsi que dans la gestion de la chaîne logistique. Il s’agit également de donner un coup d’impulsion aux acteurs de ce segment, notamment les chargeurs, prestataires, institutionnels et experts, qui ont mené ''des projets ou des initiatives constituant un apport concret au développement de la logistique''.

Ces récompenses se déclinent en deux prix; d’une part celui du projet logistique de l’année destiné aux entreprises et institutions du secteur de l’industrie, du commerce et des services qui soutiennent un projet logistique déjà réalisé ou en cours d’implémentation; d’autre part celui qui couronne le professionnel de l’année, une personnalité nommée par ses pairs qui ajoute sa pierre à l’édifice en matière de développement de la logistique au Maroc.

A l’origine de cet événement, l’Agence marocaine de développement de la logistique (AMDL) et la Commission logistique de la Confédération générale du travail (CGEM).

Les associations et entités intéressées peuvent transmettre leur dossier de candidature avant le 15 avril 2016, ont expliqué de leur côté les organisateurs.


"Un secteur qui tire l’économie marocaine vers le haut"

Avec une contribution au produit intérieur brut (PIB) national estimée à 5% le transport et le chargement se taillent à eux deux 3% , la filière logistique englobe 100.000 emplois directs.

Le Maroc se classe dans la première partie de l’Indice logistique des marchés émergents 2015 (Agility emerging markets logistics index). Il glane la 17e place, juste devant le Kazakhstan et derrière les Philippines. La Chine, l’Arabie saoudite et le Brésil occupent respectivement la 1ère, 2ème et 3ème place du podium, tandis que le Kenya (43e), le Cambodge (44e) et l’Ouganda (45e) ferment quant à eux la marche.

Initiée en 2008, la Stratégie nationale de développement de la compétitivité logistique s’inscrit dans le contrat-programme 2010-2015. Elle prévoyait de réduire les coûts logistiques de 20 à 15% du PIB, et d'accélérer la croissance économique de 0.5 point de PIB par an, soit 5 points de PIB en 10 ans.

Et les résultats ne se sont pas fait attendre. A l’issue d’une cérémonie de signature présidée par le roi Mohammed VI le 13 mai 2014, trois contrats d’application pour la période 2014-2020 ont été signés, relatifs à l’amélioration de la compétitivité logistique des flux de matériau de construction, d’import-export et de distribution interne, écrit Médias 24 .

Un autre contrat a également été signé entre l’Etat la CGEM pour l’organisation et le fonctionnement de l’Observatoire marocain de la compétitivité logistique (OMCL).

L’occasion pour le monarque de procéder à l’inauguration de la deuxième phase de la plateforme logistique conçue à Zenata par la Société nationale des transports et de la logistique. Pas moins de 10 entrepôts s’y côtoient désormais, avec une superficie couverte de 6.000 mètres carrés.

Un rare diamant bleu pourrait battre des records de vente en dépassant les 30 millions de dollars

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VENTE AUX ENCHÈRES - Un rare diamant bleu de 10,10 carats sera mis aux enchères le 5 avril à Hong Kong par Sotheby's qui espère, malgré le ralentissement de l'économie chinoise, que son prix établira au-delà de 30,6 millions de dollars un nouveau record en Asie.

La maison de vente aux enchères a estimé vendredi que le "De Beers Millennium Jewel 4" pourrait partir entre 30 et 35 millions de dollars.

Cette pierre "sans défaut à l'intérieur" est selon Sotheby's le plus gros diamant bleu de forme ovale jamais mis à l'encan.

Issu de la mine sud-africaine de Cullinan, le diamant, qui est un peu plus grand qu'une amande, faisait partie de la prestigieuse collection exposée au Millenium Dome de Londres pour le passage à l'an 2000.

Cette vente intervient cinq mois après celle à Genève par Sotheby's d'un diamant bleu exceptionnel de 12,03 carats, appelé Blue Moon (Lune bleue) pour la somme record de 48,4 millions de dollars.

Cette transaction avait montré qu'en dépit du ralentissement économique -et notamment chinois- le marché des enchères demeure particulièrement dynamique en ce qui concerne la joaillerie.

Le record de vente aux enchères dans la joaillerie à Hong Kong a été établi en 2013 quand un diamant blanc de 118 carats était parti pour 30,6 millions de dollars.

LIRE AUSSI: Le diamantaire français Celinni débarque au Maroc





Les patronats marocain et français s'activent pour la réussite de la COP22

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ENVIRONNEMENT - Sur le front de l'environnement, les entreprises françaises et marocaines regardent dans la même direction. Comme annoncé mi-janvier, le président du Mouvement des entreprises de France (Medef) Pierre Gataz est en déplacement au Maroc depuis le 10 mars afin de rencontrer son homologue marocaine ainsi que les chefs d'entreprises engagées en faveur de la cause environnementale.

Jeudi 10 mars au soir, lors d'une première rencontre qui a réuni des patrons marocains et français, sous le signe "Construire ensemble durablement", Miriem Bensalah-Chaqroun, la présidente de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), a affirmé que "le forum Maroc-France s'inscrit dans une dynamique pour renforcer notre élan sur une question vitale pour l'avenir des populations de la planète entière, qui nous concerne tous, et peut-être, au premier chef, les forces économiques qui produisent la richesse".

La coopération des entreprises marocaines et françaises autour de la question de l'environnement n'est plus à prouver. Cette rencontre à Casablanca fait suite à une première à Paris, qui a réuni les membres du Medef et de la CGEM, début décembre. L'enjeu est de "mobiliser un grand nombre d'entreprises pour adhérer à ces efforts (réductions de impact des activités des entreprises sur l'environnement, ndlr)", mais aussi de "former les entreprises à la notion d'économie d'énergie, tout en restant compétitives", avait plaidé la présidente de la CGEM lors de la première rencontre.

L'Afrique subsaharienne également concernée

Pour le président du patronat français, s'il est primordial que les entreprises marocaines et françaises coopèrent sur les questions de l'environnement, l'objectif est également d'étendre cette campagne de sensibilisation aux entreprises de l'Afrique subsaharienne.

Une opération qui pourrait être notamment facilitée depuis que les entreprises marocaines sont de plus en plus nombreuses à investir dans le continent. Mais pour y parvenir, il faut dans un premier temps consolider les liens entre l'Hexagone et le royaume, souligne la même source. "Le déplacement de la délégation des chefs d'entreprises a pour objectif de tisser des liens très profonds avec les acteurs économiques marocains", a précisé Pierre Gattaz, tout en rappelant que "la France reste le premier partenaire économique du Maroc". Quelque 750 filiales d'entreprises françaises sont installées au Maroc.

Si la CGEM s'active pour tisser des liens avec son homologue français, la confédération présidée par Miriem Bensalah double également d'efforts à l'échelle nationale afin de mieux accueillir la COP22, qui se tiendra en nombre à Marrakech.

En février, les entreprises membres du patronat marocain se sont engagées à évaluer les émissions de gaz à effet de serre engendrées par leur activité, ainsi qu'à réduire les émissions de gaz par l'adoption et la mise en oeuvre de dispositifs concrets et efficients. Un engagement qui a été officialisé par la signature d'un partenariat entre la Fondation Mohammed VI pour la protection de l'environnement et la CGEM.



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Mawazine 2016: Le chanteur libanais Assi El Hallani de retour au Maroc le 25 mai

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MUSIQUE - La scène Nahda du festival Mawazine sera décidément très libanaise. Après l'annonce de la venue des chanteuses Diana Haddad, Myriam Fares et Yara, c'est au tour de Assi El Hallani de faire son come-back au Maroc pour la 15e édition du festival.

Trois ans après son concert remarqué sur la scène orientale du festival rbati, le chanteur libanais originaire de Baalbeck, qui s'est spécialisé dans les chansons à caractère "jabali", investira la même scène le mercredi 25 mai à Rabat.

De son vrai nom Mohamad Mezian Al-Hallani, le chanteur aujourd'hui âgé de 45 ans s’est attribué le prénom de Assi en hommage au fleuve libanais éponyme et à la grande figure musicale libanaise et arabe, Assi Rahbani.

Le chanteur s'est fait connaître à 17 ans au Moyen-Orient après avoir remporté le prix de l’émission "Art Studio TV Program". Il gagne ensuite la première place de l'émission télévisée "Studio El Fan", avant de perfectionner sa voix et sa pratique du luth à l’Institut supérieur de musique du Liban.

Il enchaîne ensuite les titres et les albums de 1990 jusqu’en 2013, avec plusieurs tubes comme "Ahla El Oyoun", "Shog El Sahara", "Forsat Omor" "Ouwetna Bi Wehdetna", "Assi 010", "Rouhak Ana" ou encore "Assi 2013".

Outre Mawazine, Assi El Hallani se produit dans plusieurs festivals et théâtres de pays arabes et internationaux, de l'Egypte à la Tunisie en passant par le Liban, la Jordanie, le Royaume-Uni, la France ou les Etats-Unis.

L'artiste s'est également fait remarquer pour ses talents d'acteurs, et pour sa participation à l'émission "The Voice arabe" en tant que coach.

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Près de 20% des futurs bacheliers marocains veulent poursuivre leurs études à l'étranger

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ÉDUCATION - Les futurs bacheliers marocains souhaitent-ils poursuivre leurs études à l'étranger ou plutôt rester au Maroc? C'est la question à laquelle tente de répondre une enquête de sondage du groupe L'Étudiant marocain (qui organise le Forum international de l'étudiant à Casablanca), réalisée entre janvier et mai 2015 auprès de 5236 étudiants en deuxième année de baccalauréat, et relayée par Les Inspirations éco.

Résultat: 18,2 % d'entre eux souhaiteraient poursuivre leurs études à l'étranger, contre 64% qui disent vouloir opter pour des études supérieurs au Maroc.

Autre conclusion de l'enquête, près de 60% des futurs bacheliers envisagent de travailler plus tard dans le secteur public, contre 13,4% pour le privé.

Pour Hakim Hdiddou, directeur du projet, l'objectif de cette étude est d'"évaluer les perceptions et les comportements de ces lycéens et en déterminer leurs préoccupations majeures et leurs centres d'intérêt".




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